« Le Parlement, ce ne sont pas mes codes culturels, ces grands bureaux, ce pupitre pour prendre la parole, on se sent vite oppressé par l’institution. C’est un monde qui n’est pas tendre, ce sont des enjeux de pouvoir. C’est quand même très confrontant, c’est la concurrence des idées, mais aussi des égos. C’est peut-être la chose avec laquelle j’ai le plus de mal, car ce n’est pas comme cela que je me suis construite.»
Portrait dans le journal l’Echo sur différents sujets : cyberviolences, mobilité, interculturalité et discriminations, pour découvrir cette interview ça se passe en cliquant sur la photo !