« Sous le hashtag #UberCestOver, de nombreuses femmes témoignent de harcèlement, d’agressions sexuelles voire de viols par des chauffeurs Uber. La plateforme vient de faire son mea culpa. Mais les attitudes inappropriées voire les agressions concernent aussi les taxis classiques. ».

Retrouvez l’interview complète dans Le Soir